When you can live forever , What do you live for ? | Sam S.

Il avait besoin d'elle. Complètement et désespérément besoin d'elle. Elle était devenue comme de l'oxygêne ou une nourriture si délicieuse que maintenant qu'il y avait goûté, tout le reste lui semblait fade. Et elle n'était qu'à lui. Elle le lui confimait et rien ne semblait plus beau à entendre à cet instant. Il alternait la position de ses lèvres entre le cou de Mara et ses lèvres. Rien ne pouvait le faire redescendre de ce nuage sur lequel elle l'avait fait monté, sans en avoir conscience. Il avait besoin d'elle...il l'aimait ? Il recolla contre le mur et se rapprocha de nouveau d'elle, presque comme s'il voulait fondre en elle, pour qu'elle lui appartienne totalement

je ne supporterais pas qu'un autre pose ses mains ou sa bouche sur toi...ça me rendrait fou

Chez les espèces utilisant la reproduction sexuée, on appelle attirance sexuelle (ou sex-appeal) chez l'humain, l'attirance vers d'autres membres de la même espèce pour des activités sexuelles et/ou érotiques. Ce type d'attirance est souvent important pour la survie de l'espèce ; tandis que chez de nombreuses d'espèces elle ne sert qu'à un but de reproduction immédiat, chez les humains on la considère également comme un caractère social. Mais l'attirance c'était transformé en amour,. Dire que je croyais que l'amour faisait mal mais je n'avais jamais était aussi heureuse qu'a ce moment précis dans ces bras. J’avais en perceptive, une belle soirée dans ses bras. Simplement lui et moi au coin du feu; Aimer à en perdre la raison. Saù représentait tout ce que mon cœur désirait, une douceur, un cœur, une tendresse, de l’intelligence et de la franchise. Je crois que jamais je n’avais ressenti une t’elle plénitude à l’égard d’un homme vraiment, et sincèrement. Il était mon premier amour et celui qui le resterais. Je n’avais d’yeux que pour son regard. Doucement nous nous écartâmes l’un de l’autre, sa main dans la mienne ; son souffle contre moi étaient comme ma drogue, ma dose d’héroïne. J’avais envie de pleurer tellement l’émotion me prenais. ma joie et mon bonheur ... Lui.

- Je te jure que chaque parcelle de mon coeur et de mon corps t'appartienne, aucun homme ne le touchera sauf toi. Fais moi confiance, je suis a toi désormais et je ne veux que toi.

Je me serrais contre son cœur ; levant mon visage vers ses yeux. Il était plus grand que moi ; je trouvais ma sécurité dans ses bras. Passant mes mains sous son tee shirt, je le desirais.

Sam le savait à présent. Il était complètement perdu. Mieux valait abandonner la partie. Mara avait gagné sa place dans sa vie. Elle avait emporté son esprit et sûrement même son coeur mais ça, il n'en était pas encore sûr. Après tout, qui était-il ? Sam et il s'était toujours refusé à aimer. Il se sentait aussi fragile qu'un enfant face à Mara et tous les sentiments, aussi contradictoires soient-ils, qu'elle lui imposait. Il ne pouvait plus s'éloigner d'elle. Il devait enlever toute trace d'un autre homme sur elle. Elle ne devait porter que son odeur. Elle devait être pure, juste salie par sa présence. Il se mit à parler, laissant un silence se former entre chacune de ses questions alors qu'il embrassait Mara

est-ce que tu as aimé sa façon de te toucher et de t'embrasser ? Est-ce que tu as aimé poser tes mains sur lui ?

- Seule ta façon de me toucher ou de m'embrasser compte, tu es le seul que j'aime et que je veuille. Mais si tu veux on peut enlever ses traces.

Je l'embrassais tendrement et regagner sa salle de bain, d'un bas gracieux. Je poussais la porte, et y entrer lui faisant signe de me rejoindre. Je savais qu'il voulait que l'odeur de Lewis disparaisse ne laissant place qu'a la sienne. Elle rejoignit la salle de bain et se déshabilla deposa ses affaires sur le sol de la piéce. Elle entra dans la douche, et laissa l'eau chaude couler le long de son visage. Cela lui faisait du bien, il entra et elle l'attira vers elle. Tout en douceur et en grace. N'ayant d'yeux que pour lui, elle l'aimait et l'attendrais, pour la première fois depuis longtemps, pour la première fois depuis la mort de son père, elle savait ce que voulais dire aimer passionnement.

- Tu es magnifique.

Dit-elle en déposant sa main sur sa joue gauche, le regardant dans les yeux amoureusement.

Sam était lui-même étonné. Il n'avait jamais été aussi attaché à quelqu'un aussi rapidement. Il n'avait jamais accordé d'importance au fait qu'un autre homme touche une fille avec qui il avait couché. Mais s'il ne faisait qu'imaginer les mains d'un autre parcourir le corps de Mara, il sentait une immense douleur et de la colère prendre part de lui. Ils s'embrassaient toujours, Sam ne cherchait même pas à approfondir ce baiser, ce moment semblait parfait sans qu'il y change quoi que ce soit. Mais lorsque Mara se détacha de lui, il eut l'impression qu'on lui arraché une partie de lui. Il mit quelques secondes avant de réagir et de la suivre, en s'accoudant au montant de la porte de la salle de bain, son regard fixé sur le corps de Mara qu'elle découvrait peu à peu devant lui. Il resta comme ça un moment après qu'elle soit rentrée dans la douche. Il regarda le tas de vêtements, en se disant que cette femme, sa femme était vraiment parfaite et qu'elle le comprenait. Il s'approcha de la cabine de douche, encore habillé et il sentit la main de Mara l'attraper et l'entrainer avec elle sous la douche. Il plongea son regard dans le sien, en passant simplement une de ses mains dans le dos de sa femme pour la rapprocher de lui. De sa main libre, il attrapa l'une des siennes, l'embrassa et la pose sur son torse où son coeur battait rapidement

t'as vu l'effet que tu me fais...j'y comprend rien

Cette sensation fut des plus étranges, je n'avais jamais ressenti cela. Le frisson d'un baiser, le coeur qui bat plus fort quand la personne vous touche le bras ou le visage et enfin une cette obsession dans ma tête. Je ne pensais plus qu'a lui. Me reveillant au milieu de la nuit, l'imaginant prés de moi. Son image m'obsedée, je voulais être sienne, dans ces bras à chaque minutes. L'avoir simplement prés de moi. Je le desirais sans doute plus que n'importe quel autre personne sur cette planête. Pour la première fois, j'avais un réel frisson en pensant à lui,. Mes yeux ne voyait plus, je ne pouvais parler je sentais mon corps et transir et bruler. Ses mains et son regard pour moi m'était désormais inavitable. Je prolongeais ses baisers, laissant l'eau couler sur nos deux corps nu et vêtu. Je senti son coeur battre plus fort et je souriais, totalement heureuse de l'entendre.

- Tu me fais le même effet Sam.

Je plongeais mes yeux dans ces yeux nageant dans un océan de bonheur.

- Je t'aime tant Sam spart

Les vêtements de Sam lui collaient à la peau alors que l'eau continuait de couler sur leurs deux corps fermement enlacés. Les cheveux de Sam lui tombaient devant les yeux, ce qui lui donnait un ertain charme. Il ne quittait pas Mara des yeux alors qu'elle lui affirmait qu'elle était dans le même état que lui. Il caressa doucement la main de la jeune femme qui était encore posée sur son torse. Il lui souria doucement alors qu'il se penchait et qu'il se mettait à déposer des baisers très tendres dans son cou. Il était complètement ennivré par le parfum que Mara dégageait même si cette partie de lui, complètement possessive, avait l'impression de sentir encore l'odeur d'un atre sur elle

J'avais enfin trouvé ce calme en moi, j'étais totalement amoureuse, ne voyant plus aucun interet sauf lui désormais. Mon coeur battait pour lui, Je ne savais plus, je ne voulais plus mais mon coeur partirais vers lui désormais et cela a chaque fois. Je voulais ouvrir mes yeux à ces cotés. Il m'étais destinée et je l'aimais plus que personne. Je levais le visage profitant de chaque baisers qu'il me donnait, il avait ce coté possesif avec moi quand il renfermais sa poigne autour de mon corps. Mais j'apprecier, étrange, et je lui sourit derechef. Je m'aggripais à lui, même tout mouillé il était si attirant, qu'il provoqué chez moi une sorte d'obsession, je n'étais pas folle litterallement une obsession est un symptôme se traduisant par une idée ou un sentiment qui s'impose à la conscience du sujet qui le ressent comme contraignant et absurde, mais ne parvient pas à le chasser malgré ses efforts pour cela. Mais je n'en avait nullement envie, d'être ailleurs à ce moment précis. Je passais mes mains à chaque extremitée de son tee shirt lui otant, le posant dans le sol humide de la douche, j'avais besoin de sentir sa peau. J'avais envie de tellement de chose que je ne savais par ou commencais; son corps, discuter , l'aimer pour l'éternité.Je me calmais doucement, mes bras se serrant contre moi. Je me trouvais dos à la porte quand je fus attiré et la peur s’empara de mon être. Pendant une seconde je me suis vis loin de lui dans une cave sombre et froide enfermée par je ne sais qui. J’aurais pu faire une crise cardiaque, a l'idée de le perdre. J’eu peur, je veux dire vraiment peur. La peur d’être priver de ses bras mais la tristesse rentrée en moi ; les larmes coulèrent d’elle-même comme si on m’élevait quelques choses d’essentiel. Mon cœur ; puis je vis son visage ; aussi beau et doux, tout la peur et la colère partirent d’elle-même ; pour retrouver la joie et le bonheur qu’il m’apportait. Dans ses bras c’est comme dans cette chanson. « Seul toi et moi ; on ne voit plus personne ; la musique plane ; si prés tout les deux serres dans mes bras ; si prés pour la première fois ; » ; Je vivais mon conte de fée pour lui ; mon prince charmant. Ma douceur et mon amour. La plus belle chose, un baiser la chose la plus forte au monde. J’avais retrouvé ma force, mon courage ; mes rêves et une raison d’exister. Je crois que c’est sa au fond la vie ; avoir une raison de vivre ; ce lever chaque matin en ce disant que l’on existe pour quelqu’un. Je vivais désormais pour lui. Le verrou fermé personne ne pouvait entrer. Je poser mon dos sur le mur, mes bras autour de son torse nu, n’ayant d’yeux que pour lui. J’approchais mon visage du sien sur le pointe des pieds pour pouvoir être plus proche de ses lèvres. Afin de m’aider il me porte jusqu'à l’évier, ou il me déposa. Pouvant passer mes jambes autour de lui, être à sa hauteur ; pendant quelques minutes je ne regardais que lui. J’étais certaines de trois choses dans la vie ; les gens qui vous aiment vraiment resterons prés de vous à chaque minutes et cela peut importe les erreurs commisse. Ceux sont des personnes qui peut importe les épreuves de la vie seront là pour vous aider, pour vous comprendre et vous apprendre que même si l’on tombe on peut toujours se relever. La vie ce n’est que déception et peine mais si vous trouvez une bonne personne, elle sera un peu plus gaie et belle. La seconde était que au-delà des limites l’amour était essentiel, certes il blesse et vous rend triste mais au fond on personne ne peut vivre sans. L’amour, peut importe que ce soit une petite histoire ou l’homme de votre vie ; pendant un moment bref ou non vous avez aimé, ressenti quelques chose. Parfois l’homme se trompe ou commâis des erreurs mais au fond qui n’en a jamais commisse ? Je crois sincèrement que c’est sa la base de l’homme. Essaye encore et en amour on se trompe. L’homme se trompe, fait des erreurs mais le pardon peut tout changer, quand on aime sincèrement, on peut tout pardonner même la pire erreur. C’est sa l’amour, quelques choses de vrai et de sincère et la troisième chose c’est que l’homme est lui, tout simplement. Son caractère fait de lui ce qu’il est. On ne peut pas changer ce que l’on est vraiment ; quelques détails sans doute mais jamais l’homme au fond de lui-même. Je crois qu’aimer jusqu'à l’impossible c’est possible. J’aimais Sam plus qu’a l’impossible. Il était l’homme de ma vie, je le savais et n’en doutais pas une seconde. Chaque jour je grandissais un peu comme lui d’ailleurs et comme mon amour pour cet homme. Plus jeune que moi, plus fort que moi mais autant passionné l’un de l’autre. Le sexe représentait une étape dans la vie humaine, c’est une sorte de tradition universelle qui existera toujours, un échange, source de plaisir, de désir et d’amour. Bien sur il y a des gens dont c’est le métier mais moi je parle de l’amour ; le sexe sans amour je n’y avais jamais vu l’intérêt. Cela doit être un échange amoureux et pas seulement un acte. Sam et moi, dans cette pièce c’était un moment magique même si le lieu ne s’y prêtait pas. Sa n’avait pas une si grande importance, je l’aimais et je le désirais vraiment. Je n’éprouvais plus aucune gêne de la première fois. Je me laissais aller, corps et âme dans ses bras. Nos deux partis du corps nu, sa peau contre ma poitrine, j’aimais cette sensation de douceur . Je faisais preuve de douceur avec lui, mes douces mains allant sur son corps d’un geste lent et tendre

Malgré la proximité de leur corps, malgré le fait que l'eau avait diminué le barrière que ses vêtements constitués, malgré la promesse que Mara lui avait faite un peu plutôt, malgré qu'il était presque sûr qu'aucun autre que lui ne la toucherait plus...malgré tout ça, il ne pouvait pas s'empêcher d'avoir peur de la perdre. Il aurait tellement aimé savoir ce qui se passait en lui et entre eux. Mais il ne savait pas, il n'osait pas savoir...il ne pouvait pas ! Et il restait planté là, Mara dans ses bras, son visage niché dans le cou de cette femme qui lui appartenait désormais. Il la couvrait de tendres baisers, en ressentant comme un vide en lui. Il avait besoin d'elle, sans qu'il puisse comprendre pourquoi. Et il put voir ce même besoin dans les yeux de Mara lorsqu'il se retrouva face à face avec elle alors qu'elle lui enlevait son T-shirt trempé, laissant l'air parcourir son torse nu pendant un court instant avant qu'ils ne soient de nouveau tous les deux enlacés. Rien n'aurait pu les en empêcher, c'était comme si leur peau contenait un aimant et que rien ne pouvait réussir à les tenir éloignés l'un de l'autre. Alors qu'il la serrait simplement contre lui, il vit différentes émotions se succéder en elle et elle se mit à pleurer, sans prévenir. Inquiet, il resta silencieux, la questionnant simplement du regard en lui caressant le visage, repoussant les cheveux qui le barraient. Mais tout aussi rapidement, elle se reprit et il se laissa entrainer, encore trop surpris et inquiet par ce qu'il venait de se passer. Elle recolla leurs deux corps, à son plus grand plaisir. Il détestait ressentir ce manque en lui. Et alors qu'elle approchait doucement son visage du sien, sûrement pour l'embrasser, il prit conscience de leur différence. Elle semblait si petite par rapport à lui, si fragile. Il la porta alors dans ses bras et sans chercher à briser ce moment si intime entre eux, il la déposa simplement sur l'évier, ce qui réduisait considérablement leur écart de taille. Ils ne se quittaient pas des yeux. Rien n'aurait pu briser ce moment entre eux. Pas même la peur de Sam qui à cet instant avait disparu. Bien sûr, elle referait surface une fois qu'il serait loin de Mara mais pour l'instant, il ne pensait et ne voyait qu'elle. Il lui caressa de nouveau le visage, là où ses larms avaient coulé et lorsqu'il parla sa voix, bien que douce, montrait son inquiétude

j'ai fait quelque chose qu'il ne fallait pas ? Tout à l'heure..quand tu as pleuré

- Non ne t'en fais pas ... J'ai juste peur de te perdre, peur que tu disparaisse loin de moi.

J'approchais de nouveau de lui, le désir plus fort que tout. Je faisais preuve de douceur avec lui, mes douces mains allant sur son corps d’un geste lent et tendre. Sa chambre était vide et il y avait peut de chance que quelqu’un nous surprendre, et au fond sa n’avait aucune importance, c’était un acte naturel. Au bout de quelques minutes nous fûmes allongés sur le sol recouvert de nos vêtements pour ne pas avoir froid même si l’ambiance tirée plutôt vers le chaud. Mais mains glissaient dans son dos, profitant d’être douce et de le massé légèrement. Cet acte fut rempli d’amour, de tendresse et de passion. Le souffle légèrement coupés, le profité du plaisir qu’il m’apportait mais aussi de son regard sur moi. Longtemps considérais comme une anventure , un play boy allant avec le plus de fille possible, à mes yeux il représentait un homme, un vrai le mien. J’aurais sans doute partageait des centaines de moment avec lui comme celui-ci mais cette seconde fois avec lui était encore plus magique et belle.
Je me sentais vivante dans ce monde, dans ses bras. L’acétait fini mais la magie persisté ; je me trouvais à sa gauche, dans ses bras. Une petite princesse et son prince charmant. J’étais éveillée ; ne pensant à rien d’autre qu’a l’homme qui me tenait contre son cœur. C’était assez incroyable comme une seule personne peut changer votre vie. Je levais mon visage afin de pouvoir le regarder amplement, je me relevais doucement l’embrassant avec amour.

- On m'a dit que la chose la plus dur dans ce monde c’est d’y vivre ; mais j'ai l'impression que dans tes bras tout peut être plus simple ... Je n'aurais jamais cru dire sa un jour mais je ne veux plus jamais être loin de toi.