Mission socialisation [Mara]

Je fouille dans ma valise à la recherche de mon débardeur noir. Je deteste perdre mes affaire et pourtant ça m'arrive tout le temps. Enfin je le retrouve après 10 minutes de fouille intensives. Je l'enfile et me passe un coup de déo. Ca fait désormais un petit moment que je suis reveillé et déjà la solitude me pèse. Je décide donc d'aller entrer en contact avec la société des bahamas!! J'enfile mes belles tongs noires et direction un endroit où il y a du monde. Sur la jetée, j'appercoit un resaurant et je m'appercoit que j'ai très très faim. Le paradise Food. Ca m'inspire, bon okay je suis tout seul mais quand j'étais à Londres, j'étais tellement seul que je m'y suis habitué et puis avec un peu de chance je ferais la conaissance de quelqu'un. Je m'installe dehors en terasse. En face de la plage. Au loin j'appercoit un terrain de beach volley. Tient si je rencontre personne ici j'irais voir si ils n'ont pas besoin d'un joueur en plus. J'ouvre la carte et lit les menus, ça sera le bio pour moi. a peine relevais les yeux que je reconnais les cheveux en face de moi. Oui, c'est bizarre mais je reconnais souvent les gens à leurs cheuveux, non je ne suis pas fétichiste! Bref ces cheveux qui me sont passés sous le nez à l'aéroport quand j'ai voulu monter en taxi. Raaah je me vengerais bien. Cherchons une idée. Elle vient de commander, je suie le serveur et repère l'entré de la cuisine. il dépose la petite note sur un tableau à punaise. J'entre et ni vu ni connu je récupère le petit papier. Elle pourra toujours l'attendre son plat. Puis je retourne m'assoir prêt à assister au spectacle. Moi gamin, noooon!

La nuit était tombée dans son écrin d’été. Le bruit mat des feuilles qui tombent sonnaient à mes oreilles avec une irrégularité agaçante. Le vent soufflait fort ce soir là, et les habitants de Tree hill étaient très peu nombreux dans les rues faiblement éclairées par les lampadaires. Pourtant, le manque de luminosité n'était pas un problème pour moi; loin de la. J’aimais l’obscurité, elle était calme et douce, le silence était si passible personne ne pouvait me faire changé d’avis dans cette total sérénité. La nuit était encore plus sombre que ses derniers jours, aucune n’étoiles, simplement un ciel d’une couleur noir si forte qu’elle semblait irréel. Le vent soufflait sur les carreaux de ma chambre. Les arbres bougeaient avec une force hallucinante. Mon corps frissonnait, rien que par le simple fait de toucher cette vitre, si fine que si elle n’existait pas ; la sensation serait la même. Ma main droite sur la fenêtre j’avais cette sensation de pouvoir m’envoler ou je le souhaitais. Il était tant de partir dans les bras du marchant de sable, deux heures du matin était écrit en rouge sur le réveille de ma chambre. Avec le plus de délicatesse possible, je me levais prenant appuie sur mes mains, marchant sur mes jambes tremblantes et maigrichonnes. Je me glissais dans mes draps dormant comme une petite fille.

Le reveil sonna, et je sursauter. Je me retrouvai assise dans son lit en un rien de temps. Sous sa couette, quelque chose gigotait doucement. Je m'étirais et soupirais une nouvelle fois. Je n'étais pas prête a me lever, je voulais juste dormir. Liberty était dejà debout, elle me laissant un petit mot. Je l'attrapais, et me plonger dans cette courte lecture.

▬ ma chérie, je suis partie pour toute la journée, je rentre ce soir trés tard. bisous je t'aime bf.

Elle avait ajouté un petit coeur qui me toucha énormement. Je rejoignit la salle de bain et se déshabilla. J'entrais dans la douche, et laissa l'eau chaude couler le long de son visage. Cela me faisais du bien. Je sortit quelques minutes plus tard et mit sur elle un peignoir. Je sortit de la salle de bain après avoir ouvert la fenêtre pour rejoindre sa chambre. Je marchais dans le noir sans inquiétude et rejoignit ma penderie. J'entra à l'intérieur, ferma la porte et alluma la lumière . Elle commença à fouiller dans ses tiroirs. J'attrapa un slim noir qu'elle revêtit et se regarda dans le miroir. Elle essaya plusieurs hauts avant de trouver le bon. Elle prit un top blanc à rayures. Elle mit rapidement à ses pieds des ballerines et sortit de la petite salle. Elle attrapa son sac qui était tout prêt au passage et le posa à l'entrée de sa chambre .

Je mourrais de faim, je rejoignais le restaurant du camp a pied pour une fois, en y arrivant je commendais un bon sandwish et un ice tea bien glacée. Me retournant je crosais son regard, sous son air beau goss. J'affichais un mine étonnée et sarcastique, décidement il était partout.

▬ pourquoi tu me regarde , t'a un probléme ?

j'approchais de lui, sur de moi.

▬ décidement t'es partout toi. Tu t'es trouvé un moyen de transport j'espere.

Au bout d'un instant elle me repère. je souris, en entendant ses mots. Pour l'instant je ne l'ai entendu que parler sur un ton de défi mais j'ai comme un pressentiment qu'elle a une voix sublime. Si je lui demande de me chanter au clair de la lune, elle le prend mal? Bon passons. Si je l'invitais à me rejoindre, je pourrais apprécier le spectacle du premier rang. Je paris qu'elle va devenir folle quand rien n'arrivera après 1/2 heure de commande alors que j'appercoit ma salade composée arriver accompagné d'un grand verre d'eau. Dans son autre main, la serveuse porte un hamberger avec des frites à proffusion. etrangement ça me serre l'estomac. Je suis tellement habitué à manger sain que la moindre dérrive me rendrait fou. J'ai déjà mal au ventre en pensant aux frites grasses du type à la table d'à côté. Enfin bref, revenons à la jolie fille et à la voie cristaline.

J'ai aucun problème, et puisque tu t'en soucie oui, j'ai attendu 1/2 heure mais j'ai eu accès à un autre taxi. A ce que je voie on allait presque au même endroit, on aurait pu partager.

Ou pas, mais je me serais débrouillé pour être le premier. J'attrappe ma fourchette et pique un bout de carotte et le porte à ma bouche avec une teinte de provocation.

Ce type etait incroyablement mignon pas autant que sam mais il avait ce petit truc dans le regard, cependant il était aussi agassant, c'était à l'arrriver, je venais de débarquer de londres, petite fille riche n'ayant jamais pris le taxi, car je preferais simplement conduire ma voiture et je refusais de me faire conduire. Mais ma voiture n'était pas encore arriver alors je du me contenter de ce moyen de transport, en sortant je me dirigeais directement vers le troitoir, il y avait ce type blond, je ne savais même pas comment m'y prendre, mais un taxi s'arrêta devant lui, attirant son attention, je passais simplement devant lui, sans prendre la peine de m'excuser, je le prenais le voyant totalement furieux, je me contentais d'un signe de la main.
Quittant le bar, je m'asseya a sa table sans même lui demander son avis, il mangeait ces carottes avec sa tête de petit ange provocateur

▬ fallait y penser mais t'es pas mort donc je vois pas pourquoi tu te plains.

Je lui piquais quelques trucs dans son assiete, une ou deux carottes. Elles étaient exellente.

▬ Qu'est ce qu'un type comme toi fiche ici ?

Demandais-je curieuse.

Je place ma fourcette en position de défense! Qu'elle essaye de me piquer un autre bout de carotte et elle verra ce qu'elle verra. Qu'est ce qu'un gars comme moi fait ici? J'en sais pas grand chose en plus. J'ai reçu ma lettre alors que j'étais en plein dans un stage de danse. Mon père a fait une tête d'enterrement en la lisant et a lancé un regard triste à ma mère. Ces regards, ils s'en partage pleins depuis que j'ai arrêté la chorale. Je les ai décus, et ils ne s'en remettent pas. Je n'ai donc en soi aucune réelle raison d'être là si ce n'est que j'ai un tout petit peu de talent, et que j'ai une certaine notoriété dans le milieu du chant en Angleterre.

Je suis génial, et toi, pourquoi tu es là?

Bon okay, ça fait vraiment film de seconde zone. Je suis pathétique, mais c'est tellement bon je jouer le rôle du gars detestable. Pas que je ne le soit pas, détestable, mais jamais je n'aurais dit ça si j'avais voulu être naturel. En même temps, avec qui suis naturel depuis quelques années. Personne.

J'eu un rire sarcatistique. Mais cependant j'aimais son courage quand il me parlait; mais je souris encore plus quand il planta sa fourchette comme un petit soldat. Le serveur m'apportais une assiette de frites. J'en mangeais quelques unes sans même lui en proposais vu son menu je me doutais qu'il ne devait pas y toucher. Pourquoi j'étais là ? c'était simple j'avais reçu l'invitation et ma mère m'avait envoyé ici dans l'espoir de me rapprocher de Jenny, mais je savais autant bien qu'elle que c'était une choses impossible. A 8 ans, elle avait dejà une grande force de caracètère. L'interdir de sortir, elle n'avait pas apprecier " Je te deteste Papa ", encore aujourd'hui ces mots réssonnaient dans mon crâne. Il parti comme ça, sans un mots, il devait rejoindre des amis. Au bout de plusieurs le télephone sonna , les pompiers ; Papa était mort dans un accident de voiture, lui pour qui la vitesse n'avait pas de secret, c'était fait prendre par la mort. Je ne pris le temps de réflechir, étrangement ma colère ce rapporta sur Jenny; je lui en voulait de ses mots envers lui, elle était ma responsable. Je parti dans ma chambre en courant, versant mes larmes, me laissant aller dans la peine.

▬ je sais pas trop. je suis là c'est tout.

J'affichais un sourire au jeune homme avant de lui sourire et de lui tendre la main

▬ je n'ai même pas pris le temps de me presenter. Mara Parib

Plus sobre. Peut être est ce que j'aurais du répondre. d'un seul coup je suis envahie d'une jalousie inexpliquable. Je réalise que ces mots je pourrais les dire si je n'étais pas mort de peur d'avouer aux monde ce que je suis réellement et surtout qui je suis. Tuos es gens ne se posent surement pas de questions ils ont tels qu'ils paraissent et peu importe ce qu'en pensent les gens. Hélas si tout pouvait être aussi simple pour moi... Jamais je ne dirais salut moi c'est justin est je suis gay, jamais je ne ferais de coming out. Je mourrai seul et surtout sans mec. Soudain j'entendit dans mon esprit la voix de mon prof de chant qui me répètait sans cesse, Justin,ne dit jamais "jamais". Tu ne sais pas ce qui peut t'arriver et quelles repercutions ça peut avoir sur l'avenir. ne dit jamais "jamais", c'est tout. je souris et me radoucit, bon allez soyons un peu plus gentils et moins sur la défensive parce que après tout il faut bien que je me fasse un peu des amis ici. je songe que peut être je pourrais prendre le rôle du méchant que tout le monde déteste. Pourquoi pas à voir, suis je capable de tenir seul face à tous ces gens? peut être même face à Cindy qui me connait un petit peu...

Justin, et mon nom n'est pas important.

Je la regarde manger ses frites le ventre noué.

Bon appétit.

J’étais sans doute la gourmande la plus importante de ce camp, c’était simple je mangeais dés que j’avais quelques secondes devant moi. Par la chance je comblais cette gourmandise par le sport, mais au fond je detestais sa. Transpirer et tout ce que le sport offrait. je prefere de loin rester tranquillement dans les bras de sam. J'essayais de le comprendre, il y avait quelques choses chez lui que je ne savais pas et que je me forcais de cerner,comme s'il il y avait quelques choses, une sorte de secret que j'aimerais découvrir. Je le regardais dans les yeux, sans bouger, en mangeant mes frites, j'avais l'impression d'être au cinema. Je me secouais le visage quand je me rendais compte que tout celà pouvait être trés impoli de ma part, et même si nous étions parti sur de mauvaise base cela pouvait changer un jour.

▬ Enchanté alors Justin

Il parraissait enfaite trés gentil

▬ Euuh tu en veux ?

Pour la premiere fois je me montrais sympathique au lieu de le descendre mais il y avait un truc intrigant dans son regard.

▬ Aufaite je suis désole pour le taxi.

Trop tard pour être désolée.

Ma voie est redevenue froide. Je fronce les sourcils, c'est tellement plus facile d'être méchant. Je crois d'ailleurs que j'ai fait mon choix. Justin Taylor sera celui qu'on regarde passer en grimacant, qui hante les soirée par ses petites annecdotes nulle à pleurer. Non, je ne veux pas être ce garçon, et puis de toute façon quel interet aurais je eu à venir si c'est pour me faire détester de tout le monde? je suis perdu, perdu, aux prises avec moi même et j'ai peur de me perdre sur ma propre voie. Il faudrait que je refasse le point sur mes certitudes. je suis sur que j'aime chanter et danser et que je le fait lutôt bien. Je suis persuadé d'être un excellent acteu puisque personne jusqu'à présent n'a découvert que j'étais gay. Je suis également sur d'être homo, rien ne me plaît plus que m'allonger sur la plage avec mes grosse lunettes de soleil noires et d'observer les corps musclés masculins autour de moi. Je suis sur d'être une ordure avec mes proches et donc certain d'être seul, et donc le seul sur qui je peux compter. Pas très glorieux. j'avale une nouvelle bouchée et repousse mon assiette. Plus faim!

Bon, et donc Mara parib, qu'est ce que tu fais dans la vie?

L'homme qu'elle drôle de machine. Tellement complexe à la fois indésit et machiavelique. Je ne comprennais pas celà. C’est ainsi que je voyais l’espèce humaine, fausse et méchante. L’erreur est humaine à écrit un grand homme, je dirais plutôt que l’erreur est la cause d’un comportement voulu, nous sommes tous les maîtres de notre corps et chaque gestes et actes est pertinemment voulu. Alors l’erreur humaine est une pure invention pour faire passé l’homme pour quelqu’un civiliser alors qu’au fond il est un animal peut être différent, utilisant des pratiques culturel alors que l’animal reste dans le naturel mais comme lui il n’a aucune pitié pour sa proie et il est stupide. L’humanité, il y avait tellement peu d’humain capable de compassion envers quelqu’un d’autre, combien était sincère ? Combien ne mentaient pas sur leurs sentiments ? La franchise, peut de personnes en sont réellement capable et c’est quelques personnes peuvent être fière d’être humain. Je haïssais l’espèce humaine à ce moment, pourtant différent de mon comportement habituelle mais la souffrance me changeais, je ne voulais plus y croire en tout ces ryes humain. Je serais désormais Mara parib, simplement Mara Parib sans chercher à devenir quelqu’un que je ne veux pas être, juste moi dans toute mon humanité. A la fois, forte malgré la peur de souffrir, à la fois belle car les apparances sont essentielles désormais; maligne reveseuse. Douce et indépendance. Je voulais simplement être plus forte que Jenny, evitant sa souffrance. Courageuse, franche, perfectionniste et sensible. Je me disais que ma force de caractère m'aiderais à oublier sans doute mais depuis douze ans cette façon d'être ne marchais pas.

- Je souffre en silence.

Je ne dirais sans doute aps plus, je ne me confier que trés rarement.

- et toi alors ? quel secret cache tu justin

Je souris, un sourire amical qui dissimule ma peur. je ne cache aucun secret, je ne cache aucun secret, personne ne doit me trouver mysterieux et surtout personne ne doit douter de ce que je parait. je pourrais lui révéler que mon secret est que je suis un don juan avec les filles mais ce serait un extrème redoutable. Je me mordille la lèvre inferieur... Peu de gens savent que c'est le signe d'un grand malaise chez moi. Bon allez faisons comme si elle n'avait pas posé cette question qui derière ses apparence innocentes, me met dans tous mes états. que puis je lui répondre, quelque chose de drole ça c'est sur mais je n'ai pas un humour sur commande et d'ailleur il est souvent mal interprêté. Enfin bref je me torture l'esprit l'espace de quelques secondes.

Un talent hors du commun qui cherche à s'exterioriser et à être apprécié à sa juste valeur!

Oh mon dieu, que je suis génial. Détourner la conversation sur le chant, la danse et la comédie. Mais pourquoi ne pas y avoir pensé plus tôt, ce sera désormais ma stratégie d'attaque.

Je suis chanteur et j'espère devenir danseur, et pourquoi pas comédien!

Il parrait que la curiosité est un vilain défaut Un dicton français, La curiosité est un vilain défaut, rappelle qu'en société le désir de connaissance qui nourrit la curiosité peut parfois heurter les sensibilités ou les intérêts d'autrui et être ressenti comme gênant ou envahissant en fonction des codes sociaux : La curiosité est une attitude de disponibilité ou d'intérêt à l'égard d'un sujet ou d'un phénomène donné. Elle peut être un trait de caractère (psychologie), présente en toute occasion, ou se manifester dans des circonstances particulières. J'étais curieuse comme tout le monde dans ce monde, mais justin m'offrait quelques choses d'intrigant. une sorte de mystere a percer. Il devia bien trop vite sur la musique.

- ya un truc en toi etrange, je suis sur que tu cache un secret.

je le fixais un petit moment

- devinons ... euh tu a fais de la prison ? non tu me semble trop jeune. tu es marié ? non plus ... tu es homosexuel ?

je vis son visage se fermer à mes dernieres paroles. et si c'était sa ? je trouvais sa un peu trop cool.

- tu es gay ? parce que si c'est le cas j'ai plein de question pour toi. Et je dirais rien bien sur.

OULAAAAAAAAAAAAAAA, panique à bord, alerte maximale. ALERTE ROUGE, fermons les vannes des émotions et gérons la situation. Elle a tapé dans le mile avec une rapidité du tonerre, et là la chose qui me fait le plus envie c'est de me lever et de partir en courrant à toutes jambes. mais je serais trahis, d'ailleurs apparement je me suis trahis tout seul. Un faux pas et tout bascule. bon, voyons comment on peut gérer la situation. Elle cherche à découvrir mon secret or je n'en n'ai pas qu'un seul... Exploiter l'un de mes autres, pour masquer celui ci. Ou alors jouer à l'homophobe complètement vexé... Que faire? Ou plutôt, que ferait une personne qui n'est pas homo dans cette situation... Elle s'en amuserait dans au moins 50% des cas.Bon alors déjà, relaaaax, take it easy.

De la prison, oula non, j'ai à peine 18 ans! Puis quand au fait d'être gay, je devrais peut être m'y mettre, les femmes sont tellement plus compliquée. C'est d'ailleur pourquoi je ne me marierais sans doute jamais.

Pour l'instant bon rattrapage.

De toute façon tu pense bien que je ne vais pas étaler ma vie devant une inconnue. Même rassure toi, malgré que je sois attiré par les filles tu n'auras pas de soucis avec moi.

L'homosexualité, est un anglicisme d'origine américaine qui désigne généralement un homme ou une femme se décrivant comme homosexuelle. Plus spécifiquement, ce terme identifie les gens, événements et autres qui se rapportent aux thématiques liées à une orientation affective et sexuelle en direction des personnes du même sexe. Je trouvais ce concept assez intéressant, le fait que l'on puisse aimer une personne de son sexe, et je refusais de le mettre mal à l'aise à cause de ça, je pouvais lui pourir la vie sans scruptule mais ce genre de comportement m'étais totalement insuportable. Il nié c'etait un peu normal mais mon envie de savoir était trop forte; j'avais besoin de savoir la verite.

- nous savons tous les deux que j'ai raison et je deteste les menteurs. tu devrais assumé au lieu d'avoir honte ce qui est totalement stupide, et que j'ai raison ou tord, si tu es vraiment homosexuel, tu devrai assumer et si y'en a un qui a un probléme avec sa, fait le moi savoir et j'irais le voir.

ce n'était pas le moyen d'être gentille mais je detestais l'homophobie ou tout sorte de discrimination.

Bon, peut être que je devrais me résoudre à n'adresser la parole qu'à des murs, parce que là je pense qu'un mur serait vraiment moins obstiné! Non, non et nooon. Elle y crois à fond! Je ne dois en aucun cas avouer, de toute façon au pire même si elle reste convaincue je lui demanderais de n'en parler à personne parce que ça ruinerait mes chances avec des filles. Jouons le jeu encore un moment.

De quel droit tu te permet de deviner ce que je pense. Tu ne me connais pas, et puis de toute façon qache que si j'étais homo, j'aurais aucun soucis avec ça. Je trouve ça génial d'assumer ses préférences et ses dfférences! Mais bon comme je te l'ai déjà dit et que t'as pas du le comprendre, je suis 100% hétéro. Enfin, au dernières nouvelles je l'étais!

Voilààà, une teinte d'humour. Je deviens parfaitement tolérant et gentil sur ce sujet parce que j'estime que la première réaction qui me serait venue aurait été de nier tout en bloc de façon agressive et catégorique. Là, je prend la chose avec humour et décontraction, soit disant.

Si ça te fais fantasmer de penser que je suis gay par contre, vas y fait toi plaisir!

Voilà, retourner le problème vers elle, je suis géniiiiial, ahum.

Je ne te connais pas c'est vrai mais je reste sur de moi, tu trouvera sa stupide et pretencieux mais je me trompe rarement et sur ce coup je suis sur de moi. Mais si tu es hetero alors tant mieu pour toi, tu va faire des heureuse

Mais tu as raison mon pauvre chéri, j'ai toujours rever de t'imaginer nu avec d'autre hommes, c'est tellement ... enfaite tu me fait pitier sincerement

Je la fixe, enfin elle a une réaction normale, elle s'éenerve. Je souris ce qui a en général le dont d'énerver encore plus les gens. Oui tu es méchante et agressive, mais ça ne me fait ni chaud ni froid ma cocotte.

J'aime les filles mais ça veu pas dire que je les rend heureuses. Je suis plutôt dans le genre irrespectueux et profiteur. Si tu veux mon avis, je ne mérite pas ta pitié mais plutôt ton ignorance où ta colère.

Je me mord la lèvre comme pour la provoquer, je parviens à merveille à tourner la situation à mon avantage et je suis fier de moi, comme quoi je sais encore quand même me débrouiller un minimum. Je viens de terminer mon plât. Je sors mon porte feuille et en tire ma carte bleue que je donne au premier serveur qui passe.

Juste ma salade et ma boisson s'il vous plaît.

Il manquerait plus qu'il me fasse payer ce qu'elle a consommé.

Bon, c'est pas que j'aime pas parler avec toi Mara mais tu vois j'ai des choses plus importantes à faire.

DETESTE MOI, tu n'en n'est pas loin.

» Mara R.Parib | 1oo%
» Mara Parib | 1oo %
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» absence de mara